Recueil de Poesies
REGARDE-LES
Regarde-les ! Ils ont volé la noble terre Balayé mes espoirs, souillé mes rêves. Il ne reste plus rien, seulement le désert Ni lumière, ni clarté, plus aucune trêve.
Regarde-les ! Ils ont violé mon doux ciel Assassiné les oiseaux, endormi le soleil.
À l'aube, il fait déjà nuit, il fait déjà froid La terre s'est endormie, vit déjà son trépas.
Regardes-les ! Ils ont souillé mes océans Noyés mes rivières et mes fleuves chéris. La vie n'est plus d'ici. Il n'y a que le néant. Les berges sont mornes, les arbres flétris.
Regarde-les ! Ils ont tué la vie, nul remord Gaspillés l'espoir de redresser leurs tords. Reste que le désert, lui seul, sans pouvoir Sans richesse, sans rien, que le désespoir.
Regarde-les ! Ils s'enfuient là-bas, lâches Des sans pardon maudits d'un Dieu déçu. Les traces s'effacent de l'univers sans tâche Redonnant au silence le poids de sa vertu.
Il ne reste plus rien pour me retenir ici. L'amour est mort, aussi.
La loi des nantis a poursuivi ses folies. Je pars. La mort me suit.
MA MAITRESSE
Ne cherchez pas l'erreur Elle n'est pas d'ailleurs. La belle est bien d'ici Elle est née de mon lit.
Lorsque je la couche ainsi J'ai peur qu'elle s'endorme. C'est sans doute de la folie Mon coeur me le pardonne.
Lorsque je la regarde dormir Tous mes rêves se réveillent. Elle est si adorable, pour dire Tant la vie me gâte, avec elle.
Elle s'endort, sans détresse Une fois passés nos plaisirs. La belle, c'est ma maîtresse Je l'aime. Elle est mes délires
Commandez vers moi, vous aurez également droit à la dédicace et un petit cadeau.
Les frais de port et d'emballage sont de quatre Euros, en sus.
REGARDE-LES
Regarde-les ! Ils ont volé la noble terre Balayé mes espoirs, souillé mes rêves. Il ne reste plus rien, seulement le désert Ni lumière, ni clarté, plus aucune trêve.
Regarde-les ! Ils ont violé mon doux ciel Assassiné les oiseaux, endormi le soleil.
À l'aube, il fait déjà nuit, il fait déjà froid La terre s'est endormie, vit déjà son trépas.
Regardes-les ! Ils ont souillé mes océans Noyés mes rivières et mes fleuves chéris. La vie n'est plus d'ici. Il n'y a que le néant. Les berges sont mornes, les arbres flétris.
Regarde-les ! Ils ont tué la vie, nul remord Gaspillés l'espoir de redresser leurs tords. Reste que le désert, lui seul, sans pouvoir Sans richesse, sans rien, que le désespoir.
Regarde-les ! Ils s'enfuient là-bas, lâches Des sans pardon maudits d'un Dieu déçu. Les traces s'effacent de l'univers sans tâche Redonnant au silence le poids de sa vertu.
Il ne reste plus rien pour me retenir ici. L'amour est mort, aussi.
La loi des nantis a poursuivi ses folies. Je pars. La mort me suit.
MA MAITRESSE
Ne cherchez pas l'erreur Elle n'est pas d'ailleurs. La belle est bien d'ici Elle est née de mon lit.
Lorsque je la couche ainsi J'ai peur qu'elle s'endorme. C'est sans doute de la folie Mon coeur me le pardonne.
Lorsque je la regarde dormir Tous mes rêves se réveillent. Elle est si adorable, pour dire Tant la vie me gâte, avec elle.
Elle s'endort, sans détresse Une fois passés nos plaisirs. La belle, c'est ma maîtresse Je l'aime. Elle est mes délires
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